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Critique Wonder Adult Female 1984 : Rétro-Pédalage

Critique Wonder Adult Female 1984 : Rétro-Pédalage
Critique Wonder Adult Female 1984 : Rétro-Pédalage

Le seul blockbuster super-héroïque de 2020 était donc Wonder Woman 1984, et sec’il se veut épouser fifty’exubérance des années lxxx, le cinema de Patty Jenkins en prend aussi le mauvais goût.





Wonder Woman fut un écrasant succès : dépassant au box-office les projets dantesques de Zack Snyder, de sa relecture de Superman à sa rencontre avec le Chevalier Noir en passant par Justice League et son succès addition que limité, le film de Patty Jenkins se allow même de relancer sur le devant de la scène les blockbusters super-héroïques féminins avec Marvel qui lancera en confront sa Captain Marvel avec Brie Larson. Seul projet de la firme DC Comics ayant mis (à peu-près) tout le monde d’accord, la guerrière amazone se trouve ici projetée dans les années lxxx dans ce deuxième opus, Wonder Woman 1984, et mis en confront des exubérances d’une époque, du deuil de son éternel amour Steve Trevor et de sa pire antagoniste Cheetah, ici campée par Kristen Wiig. Un programme chargé pour un celluloid qui fifty’est tout autant, surtout en matière de mauvais goût.





Critique Wonder Woman 1984 : Rétro-pédalage
© Warner Bros, HBO MAX, DC Entertainment




Patty Jenkitsch





Si Wonder Woman se teintait de Première Guerre Mondiale et d’une vision empreinte des excès de Zack Snyder, ce dernier étant encore alors fifty’architecte d’un DCEU qui n’avait pas encore rencontré les affres du box-part (avant sa revanche sur HBO MAX) , Patty Jenkins semble ici avoir libre court pour mettre en scène boy héroïne au cœur des années lxxx, et ainsi montrer ses talents très limités de réalisatrice et de coscénariste. Wonder Woman 1984 sec’avère ainsi hideux et dénué de réels moments de bravoures tant boy quota de scènes d’actions se trouve ici curieusement maigre, très cheap et trop rapidement exécuté pour réellement divertir. Que reste t-il alors de cette superproduction héroïque dont le cahier des charges se trouve affreusement lourd pour une réalisatrice qui semble déjà patauger sur fifty’essentiel ? Et bien malheureusement pas one thousand chose, tant Wonder Woman 1984 semble faire de boy exploration des années 1980 une synthèse aussi vide que terriblement laide.





Critique Wonder Woman 1984 : Rétro-pédalage
© Warner Bros, HBO MAX, DC Entertainment




L’hommage à la série portée par Lynda Carter aurait ainsi pu servir d’excuse (ainsi qu’au fondateur Superman de Richard Donner) si le cinema de Patty Jenkins ne se prenait pas autant au sérieux avec son déluge de scènes politiques maniant ainsi boy discours avec la finesse d’un char d’assaut. Wonder Woman 1984 étale ainsi boy vide total sur summation de deux heures, démonstration aussi éreintante que stupéfiante de vacuité, où les protagonistes se trouvent ici limités à de fatigantes marionnettes désarticulées avec un casting prestigieux n’ayant que trop peu de place pour réellement exister, même lorsque Pedro Pascal semble subir une crise d’allergie pendant plus de la moitié du métrage.





1984 problèmes





Pourtant, les ambitions sont énormes, pour un postulat centré sur le désir, et donc l’infini des possibles rentrant en parfaite contradiction avec un celluloid hélas très limité. Cachant derrière boy efficacité une entreprise qui tourne à vide et ce à plein régime, le film de Patty Jenkins fait au moins fifty’attempt d’illustrer à merveille le discours sur une époque qu’il tentait pourtant de dénoncer.





Que trouver alors à Wonder Woman 1984 qui semble accumuler les problèmes comme un invraisemblable défi pour atteindre le mirobolant chiffre de son titre ? On ne saurait ainsi pardonner au film de Patty Jenkins son lot d’incohérences. Si le retour de Chris Pine en paraît être la parfaite incarnation, l’introduction maladroite de 50’antagoniste Cheetah ainsi que l’observation plus intime d’une Gal Gadot pourtant plus à boy aise avec boy personnage, ne semble malheureusement présente que pour tenter d’approfondir un scénario qui n’en réclamait pas tant.





Critique Wonder Woman 1984 : Rétro-pédalage
© Warner Bros, HBO MAX, DC Entertainment




Ainsi, même lors d’une belle introduction à la gloire des Amazones, le film de Patty Jenkins semble pêcher par excès dans une determination abrupte se muant en leçon de morale redescendant le plaisir aussi rapidement qu’il était apparu. Perdu entre candeur et lourdeur, oscillant sans cesse entre le charme de son héroïne et un scénario à la finesse pachydermique, Wonder Woman 1984 semble ainsi répondre par une incapacité totale à se muer en véritable film symbole saisissant fifty’affect de sa fougueuse protagoniste.





En transformant la candeur de son héroïne en spectacle aussi lourd qu’invraisemblable, rien ne semble donc pensé pour offrir à la légendaire guerrière amazone fifty’écrin qu’elle méritait pour enfin second’épanouir et s’affranchir. Définitivement collée au sol, jamais rien ne décolle.





Wonder Woman 1984 est disponible en VOD, DVD et Blu-ray.








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